Ici, on prend soin de votre Korps !

Kinésithérapie

Kinésithérapie du sport

La pratique d’une activité sportive occasionnelle ou régulière peut parfois être perturbée , allant de la simple gêne (articulaire , musculaire, tendineuse..) à la douleur nécessitant l’arrêt de l’activité.

Votre Kinésithérapeute KORPS Paris11 en prenant en compte les différents facteurs (analyse du geste sportif, matériels, posture etc.) vous aidera à trouver une solution durable en cherchant l’origine du problème. La prise en charge comprend tous les moyens thérapeutiques qui vous seront utiles (Taping, Ondes de chocs etc.).

Dans quels cas consulter :
Nous traitons entorses, tendinopathies, lésions musculaires, conflits articulaires…

Orthopédie et Traumatologie

La rééducation orthopédique et traumatologique est une prise en charge qui intervient le plus souvent après une chirurgie de l’appareil locomoteur.

Suite à une affection touchant les articulations et les structures péri-articulaires , la gêne fonctionnelle et les douleurs vous oblige à subir une chirurgie qui est programmée.

Votre kinésithérapeute KORPS Paris11 va intervenir en pré et/ou post opératoire pour améliorer la récupération des déficiences et de la fonction. Après une évaluation , il vous proposera un traitement adapté qui respectera les consignes de votre chirurgien , les délais de cicatrisations et vos objectifs de récupérations.

Kiné et cancer du sein

Chaque patiente traitée pour un cancer du sein peut bénéficier d’une rééducation à différentes étapes de sa maladie. Une kinésithérapie peut être prescrite soit après une chirurgie du cancer du sein, soit pendant et après une radiothérapie de l’aisselle. Chaque situation est particulière ; c’est la raison pour laquelle, après un bilan, le masseur-kinésithérapeute vous propose une prise en charge adaptée. Il tient compte de votre âge, du type de traitement que vous avez reçu, de votre état physique et de vos antécédents médicaux.

La kinésithérapie après un cancer du sein vise à :

  • Traiter les complications veineuses et/ou lymphatiques (lymphocèle, lymphœdème) ;
  • Éviter que vous n’adoptiez, par réflexe, des positions qui semblent vous soulager sur le moment mais qui peuvent être sources d’enraidissement (on parle de positions antalgiques
  • Retrouver progressivement la mobilité de votre épaule et de votre bras à l’aide d’exercices spécifiques.
  • Aider à la cicatrisation (à la suite de la chirurgie du cancer et/ou de reconstruction du sein) et, si nécessaire, assouplir la cicatrice et les tissus
  • Atténuer les douleurs vives (syndrome des cordelettes axillaires ou thromboses lymphatiques superficielles) ;
  • Conserver votre force physique et votre mobilité ;
  • Améliorer votre bien être général (soulager les tensions du cou, du dos, de la zone opérée) ;
  • Reprendre vos activités quotidiennes et progressivement vos activités sportives si vous en aviez.


Les principes de la rééducation :

Les premières semaines, les gestes de rééducation sont réalisés de manière lente, douce et progressive.

Le massage des cicatrices :
Après une intervention du sein (le plus souvent après le 8ème jour), la cicatrisation peut provoquer des tiraillements potentiellement désagréables, qui risquent d’entraîner par position antalgique » une raideur de l’épaule. Une kinésithérapie précoce, par mobilisation et drainage manuel dans un premier temps, favorise une meilleure revascularisation et aide à redonner de la souplesse à la peau. D’autres techniques de massages spécifiques visent à assouplir les cicatrices. Par la suite, des pansements siliconés peuvent par exemple être appliqués en complément des massages.

La kinésithérapie pendant la radiothérapie :
Vers la fin de la troisième semaine de radiothérapie, la réaction d’échauffement produite sur la région irradiée peut limiter la souplesse de votre épaule. La radiothérapie peut également être responsable d’un œdème réactionnel de la zone irradiée. Des techniques douces de drainage manuel peuvent limiter ces symptômes. Lorsque la peau n’est plus inflammatoire, d’autres techniques de massage permettent à celle-ci de retrouver une meilleure souplesse.

La kinésithérapie et la reconstruction mammaire :
Qu’elle soit immédiate ou à distance de l’intervention, la reconstruction peut être préparée et/ou suivie par une kinésithérapie spécifique. Réalisée avant la reconstruction, des massages et des étirements spécifiques de la peau du thorax peuvent permettre une meilleure mise en place d’un implant mammaire par exemple. Après la chirurgie et sur indication de votre chirurgien, une mobilisation de votre épaule et l’utilisation de techniques manuelles, douces et adaptées, au niveau de la zone reconstruite visent à améliorer la circulation locale.

Méthode McKenzie

La méthode McKenzie est un système d’évaluation et de soins des douleurs mécaniques vertébrales et des articulations des membres.

Elle présente la particularité de donner la priorité aux techniques d’auto-traitement qui doivent être au centre du traitement proposé dans la mesure du possible. Le patient doit devenir l’acteur principal de sa guérison. Votre Kinésithérapeute KORPS Paris11 vous guide dans ce processus, et intervient avec des techniques passives si nécessaire.

La méthode McKenzie est particulièrement indiquée dans toutes les rachialgies d’origine mécanique (lombalgies, discopathies, dorsalgies, cervicalgies). Elle est souvent utile même lorsqu’une arthrose importante est présente (spondylose, ostéophytose, modifications dégénératives, arthrose inter-apophysaire).

Elle a aussi toute sa place dans le cadre de nombreuses névralgies : sciatiques, cruralgies, névralgies cervico-brachiales, névralgies d’Arnold, névralgies intercostales, même s’il existe un déficit neurologique périphérique (à condition qu’il ne soit pas trop sévère, qu’il ne soit pas évolutif et bien sûr, qu’il n’y ait pas de syndrome de la queue de cheval ou de myélopathie). Avec cette approche, on ne pourra bien évidemment pas aider tous les patients, mais on sera en mesure de les évaluer en toute sécurité. De nombreux patients souffrant de hernies discales / protrusions discales pourront trouver un soulagement et apprendre à gérer leur dos ou leur cou à moyen et à long terme.

Uro-gynéco

Rééducation périnéale

/!\ IMPORTANT : un bilan ostéopathique est souvent pertinent avant de démarrer la rééducation périnéale. En effet, l’accouchement est souvent la cause de déséquilibre du bassin, du périnée et du système gynécologique chez la femme.

Le périnée est un ensemble de muscles partant du pubis jusqu’à la base de la colonne vertébrale. Prenant la forme d’un hamac, c’est en quelque sorte le plancher qui soutiens vos organes abdominaux : la vessie, l’utérus et l’intestin.

Sa rééducation est aujourd’hui automatiquement prescrite aux femmes qui sortent de la maternité. Cette rééducation est en effet indispensable car elle permet de renforcer le tonus de la région périnéale qui peut se trouver diminué après un accouchement par les voies naturelles. Elle permet aussi de traiter les fuites urinaires .

Plusieurs méthodes peuvent être utilisées par votre kinésithérapeute. La rééducation peut se faire soit de façon “manuelle” avec des exercices de contraction du plancher pelvien. Soit par biofeedback instrumental avec une sonde intra-vaginal.

Rééducation abdominale

La grossesse et l’accouchement modifient la position des abdominaux.

La rééducation abdominale permettra à la jeune maman de retrouver un bon placement des lombaires [vertèbres du bas du dos] et de corriger les pressions internes de la sangle abdominale vers le bas du ventre et le périnée. Pour assurer un bon retour à la normale, il est donc important de rééduquer ses abdos, avant même de reprendre une activité sportive.

Concrètement, 10 séances (prescrites par votre sage-femme ou votre gynécologue dans les six à huit semaines suivant l’accouchement) peuvent suffire à rééduquer vos abdos. Les exercices pratiqués sont dans un premier temps de type hypopressifs, ce qui consiste à tonifier le périnée et la paroi abdominale grâce notamment à une contraction des muscles abdominaux profonds.

Il est très important de faire sa rééducation abdominale après sa rééducation périnéale car celle ci ne peut être efficace que si le périnée fonctionne bien. De plus, il est important de le faire pour éviter fuite urinaire, douleur lombaire et ptose abdominale à long terme.

Kinésithérapie Pédiatrique

Le terme kinésithérapie signifie “soin par le mouvement”. Le kinésithérapeute est donc par définition le professionnel du mouvement, et l’utilise pour soigner. Un corps en bonne santé est un corps qui bouge.

Champs de compétence de la Kinésithérapie Pédiatrique

Souvent, la Kinésithérapie Pédiatrique est résumée à la kinésithérapie respiratoireet à la bronchiolite. Il s’agit pourtant d’un domaine bien plus large. Le Kinésithérapeute Pédiatrique est ainsi amené à traiter :

  • Les nourrissons (0-2 ans), atteints de torticolis,de plagiocéphalie (syndrome de la tête plate), malposition des pieds (pieds bots, métatarsus varus…), retard ou atypie de développement neuromoteur (d’origine identifiée ou non).
  • Les enfants (2-12 ans) et les adolescents (12-18 ans)

La kinésithérapie pour un bébé exige une analyse précise de la motricité que le nourrisson a développé, et des stades moteurs cohérents avec son âge, pour guider son évolution motrice et finalement atteindre la marche.

Votre kinésithérapeute, ostéopathe Christine DE SOUSA, spécialisée en pédiatrie, tentera de répondre à vos questions et inquiétudes. N’hésitez pas à consulter si vous avez une prescription ou bien même si vous avez le moindre doute sur l’évolutionmotrice de votre enfant.